... et si, pour l'occasion, nous partions pour l'île éponyme ?!
Loin des oeufs, loin du choeur, toutes voiles dehors,
mettons le cap sur l'île de Pâques !


C'est "easter party", mon cui-cui !!

L’île de Pâques (en espagnol Isla de Pascua, en langue māori Rapa Nui : "la grande rame") est connue pour ses centaines de hautes statues monumentales “Les Moaïs” qui gisent brisées ou enfouies sur cette île volcanique. Qui les sculpta et pourquoi ? Ont-elles un lien avec d'autres cultures polynésiennes ? Indiquent-elles une influence sud-américaine ? C'est ce que nous allons découvrir…


Au Milieu du Pacifique Sud
D'une superficie de 16 628 hectare, l'île de Pâques est un minuscule triangle de terre, perdu au milieu du Pacifique Sud. 3700 km la séparent des côtes chiliennes et 4000 km de Tahiti. Vers le Nord et le Sud, les distances sont toujours aussi vertigineuses avec 3800 km jusqu'aux Iles Galapagos et 5000 km jusqu'à l'Antarctique. Le climat est subtropical avec une température annuelle moyenne de 21°C. Les pluies sont faibles mais fréquentes, car réparties sur toute l'année.
L'île de Pâques est la terre habitée la plus isolée de la planète.
Une île Polynésienne
Colonisée par un groupe de Polynésiens vers le Ve siècle, l'île de Pâques est considérée comme la frontière extrême orientale de la Polynésie. Elle forme avec l'archipel de Hawaï au nord et la Nouvelle Zélande au Sud, une des limites de ces vastes parties du monde éclatée en îlots. Il y a deux millions d'années, le volcan Poike surgissait des eaux. Il fût suivi, un million d'années plus tard, par le Rano Kau, puis 760 000 ans après, par le Maunga Terevaka. Aujourd'hui éteints, ces trois volcans forment les trois extrémités principales de l'île.
Le volcan Rano Kau
La dernière éruption du volcan Rano Kau remonte à 10 000 ans. Son cratère, situé à 250 mètres au dessus du niveau de la mer, mesure plus d'un kilomètre de diamètre et abrite une lagune de 280 mètres de profondeur. L'Ile de Pâques est loin d'être paradisiaque. D'aspect aride, elle ne possède aucun cours d'eau. Son sol, sans cesse balayé par les vents marins, est très pauvre en végétaux. Il est presque entièrement recouvert d'une herbe rase et jaune.
L'île de Pâques s'étend sur un total de 73 volcans éteints.
Cet état de désolation est largement dû à l'élevage intensif de moutons que les Anglais pratiquèrent sur l'Ile pendant la 1ère moitié du 20e siècle. De plus, la terre végétale n'atteignant que 50 cm de profondeur, il est très difficile pour les arbres d'y maintenir leurs racines.
Grottes et voies souterraines
Issues de la lave des volcans, les côtes de l'île de Pâques sont rocheuses et très souvent escarpées. Percées de cavernes, elles mènent parfois à de profondes grottes souterraines qui traversent le sol de part en part. On en compte plusieurs centaines dont beaucoup ont servi de refuges aux Rapa Nui pendant des siècles.
Faune et Flore
Il n'existe aucun animal autochtone sur l'île. Toutes les espèces présentes, actuelles ou passées, ont été implantées par l'homme. Les rats et les poules amenés par les polynésiens, fûrent pendant longtemps les seules sources de viande. Puis vinrent s'ajouter, avec l'arrivée des Européens, des chevaux, des bovins et des moutons.
UN PEU D'HISTOIRE
De 1500 av J.-C. à 800 ap. J.-C, les Polynésiens parcoururent un espace maritime immense en plein coeur de l'Océan Pacifique. Ils y découvrent l'île de Pâques en 500 ap. J.-C, date équivalant à l'aube du Moyen Age Européen. Jusqu'au 5 avril 1722, jour de l'arrivée des premiers Européens, ceux qui allaient devenir les Rapa Nui, bâtissent sur leur île une civilisation monumentale. Selon la principale légende Rapa Nui, sept éclaireurs envoyés par l'Est par les Polynésiens ont un jour découvert l'existence de l'île. Plus tard, un roi déchu, nommé Hotu Matua, vint s'y installer avec son épouse Avareipua. Il emmena avec lui hommes, femmes et enfants, ainsi que des animaux et des plantes destinés à assurer leur subsistance.
Par la suite, les Rapa Nui ont immortalisé les premiers découvreurs de l'île en représenant sept moaï à leur effigie.
Toujours visibles de nos jours, ils sont disposés sur l'Ahu Akivi, le seul Ahu de l'île construit dans les terres et non sur le rivage. Orientés vers la mer, ils regardaient symboliquement en direction de leur île polynésienne natale.
Par la suite, les Rapa Nui ont immortalisé les premiers découvreurs de l'île en représenant sept moaï à leur effigie.
Toujours visibles de nos jours, ils sont disposés sur l'Ahu Akivi, le seul Ahu de l'île construit dans les terres et non sur le rivage. Orientés vers la mer, ils regardaient symboliquement en direction de leur île polynésienne natale.
Longues et courtes oreilles
Selon une légende, la population fût rapidement séparée en clans. Parmi les deux principaux, les Courtes Oreilles étaient probablement les descendants des premiers Rapa Nui, issus d'Huota Matua. Les longues Oreilles, quant à eux, seraient arrivés plus tardivement sur l'île.
Guerres tribales
Toujours selon la légende, au 17è siècle, de violents affrontements opposèrent les deux clans, et mirent l'île à feu et à sang. Ces guerres tribales fûrent sans doutes provoquées par une raréfaction des vivres et des matières premières, suite à plusieurs bouleversements climatiques. Les Rapa Nui étaient entrés dans une phase de décadence que l'arrivée des Européens allait bientôt aggraver.
Les polynésiens explorèrent un territoire maritime plus vaste que celui des Vikings.
L'arrivée des Européens
Les Hollandais
En août 1721, l'amiral Hollandais Jacob Roggeveen part à la recherche d'un continent dans le Pacifique Sud. Le soir du dimanche de Pâques 5 avril 1722, il y découvre fortuitement une île, un territoire minuscule où il ne restera que 5 jours mais qu'il marquera du sceau de son appellation actuelle, née du hasard du calendrier : "de Pâques". - On lui connaît deux autres noms plus anciens : Mata Ki Te Rangi, ce qui signifie «les yeux qui regardent le ciel» et Te Pito O’te Henua : «l’utérus de la terre». -
Les Espagnols
En décembre 1770, l'espagnol Felip de Gonzalez y Hadeo, également en quête d'un continent austral, parvient jusqu'à l'île, où il y reste 6 jours. La Couronne Espagnole en prend possession et la baptise Isla de San Carlos, en l'honneur du roi Carlos III.
Les Anglais
En 1774, James Cook de retour de l'Atlantique, fait escale à l'île de Pâques pendant 3 jours. Il la décrira longuement dans ses récits de voyage, mais ne voit en elle aucun intérêt stratégique pour l'Angletterre ou d'autres pays.
Les Français
Jean-François de Galaud de la Pérouse, qui mène une expédition française dans le pacifique Sud, atteint l'île le 9 Avril 1786. Acompagné d'officiers et de scientifiques, il pénètre à l'intérieur des terres afin de visiter les monuments et les habitations Rapa Nui. Plusieurs plans précis en sont pour la première fois dessinés.
Pendant la 1ère moitié du XIXe siècle, plusieurs équipages de navires étrangers, tentent des incursions dans l'île. Ceux qui y parviennent se livrent le plus souvent aux pires exactions. Après des tueries, des enlèvements et des viols, les Rapa Nui deviennent agressifs envers les nouveaux arrivants. Ils se défendent avec le peu de moyens dont ils disposent, principalement en criant et en jetant des pierres.
Réduits à l'esclavage
Le 12 décembre 1862, un millier de Rapa Nui sont capturés par des marchands d'esclaves péruviens. Parmi les prisonniers se trouvent la famille royale ainsi que l'ensemble des hommes savants, capables de déchiffrer l'écriture rongo rongo. Tous sont destinés à un travail harassant et dangereux : l'exploitation des mines péruviennes de guano. Lorsque le gouvernement péruvien ordonna, sous les pressions anglaises et françaises, la libération des Rapa Nui, 80% d'entre eux étaient déjà morts dans les mines. 15 insulaires seulement finirent par retrouver leur île. Ils y répandirent sans le savoir le germe de la variole, contracté au contact des continentaux. Plus de la moitié de la population fût décimée par la maladie.
Evangélisés
Le frère Eugène Eyraud séjourne sur l'île en mai 1863. Il y reste 9 mois pour y revenir définitivement en mars 1866. Son oeuvre d'évangélisation, renforcée par l'arrivée de trois autres missionnaires, participe à la chute de la religion ancestrale des Rapa Nui. En 1968, à la mort du frère Eyraud, la statue la plus vénérée de l'île, appelée Hoa Hakananai'a ou la briseuse de vagues, est enlevée par un navire de guerre américain. Le dernier symbole de la religion Rapa Nui est tombé.
Tyrannisés
Jean-Baptiste Dutrou Bornier, aventurier français, débarque en avril 1868. Il désire acheter les terres les plus fertiles pour pratiquer l'élevage. Rapidement, il se prétend roi de l'île et tyrannise les Rapa Nui. Il est mystérieusement assassiné en 1877.
En août 1721, l'amiral Hollandais Jacob Roggeveen part à la recherche d'un continent dans le Pacifique Sud. Le soir du dimanche de Pâques 5 avril 1722, il y découvre fortuitement une île, un territoire minuscule où il ne restera que 5 jours mais qu'il marquera du sceau de son appellation actuelle, née du hasard du calendrier : "de Pâques". - On lui connaît deux autres noms plus anciens : Mata Ki Te Rangi, ce qui signifie «les yeux qui regardent le ciel» et Te Pito O’te Henua : «l’utérus de la terre». -
Les Espagnols
En décembre 1770, l'espagnol Felip de Gonzalez y Hadeo, également en quête d'un continent austral, parvient jusqu'à l'île, où il y reste 6 jours. La Couronne Espagnole en prend possession et la baptise Isla de San Carlos, en l'honneur du roi Carlos III.
Les Anglais
En 1774, James Cook de retour de l'Atlantique, fait escale à l'île de Pâques pendant 3 jours. Il la décrira longuement dans ses récits de voyage, mais ne voit en elle aucun intérêt stratégique pour l'Angletterre ou d'autres pays.
Les Français
Jean-François de Galaud de la Pérouse, qui mène une expédition française dans le pacifique Sud, atteint l'île le 9 Avril 1786. Acompagné d'officiers et de scientifiques, il pénètre à l'intérieur des terres afin de visiter les monuments et les habitations Rapa Nui. Plusieurs plans précis en sont pour la première fois dessinés.
Pendant la 1ère moitié du XIXe siècle, plusieurs équipages de navires étrangers, tentent des incursions dans l'île. Ceux qui y parviennent se livrent le plus souvent aux pires exactions. Après des tueries, des enlèvements et des viols, les Rapa Nui deviennent agressifs envers les nouveaux arrivants. Ils se défendent avec le peu de moyens dont ils disposent, principalement en criant et en jetant des pierres.
Réduits à l'esclavage
Le 12 décembre 1862, un millier de Rapa Nui sont capturés par des marchands d'esclaves péruviens. Parmi les prisonniers se trouvent la famille royale ainsi que l'ensemble des hommes savants, capables de déchiffrer l'écriture rongo rongo. Tous sont destinés à un travail harassant et dangereux : l'exploitation des mines péruviennes de guano. Lorsque le gouvernement péruvien ordonna, sous les pressions anglaises et françaises, la libération des Rapa Nui, 80% d'entre eux étaient déjà morts dans les mines. 15 insulaires seulement finirent par retrouver leur île. Ils y répandirent sans le savoir le germe de la variole, contracté au contact des continentaux. Plus de la moitié de la population fût décimée par la maladie.
Evangélisés
Le frère Eugène Eyraud séjourne sur l'île en mai 1863. Il y reste 9 mois pour y revenir définitivement en mars 1866. Son oeuvre d'évangélisation, renforcée par l'arrivée de trois autres missionnaires, participe à la chute de la religion ancestrale des Rapa Nui. En 1968, à la mort du frère Eyraud, la statue la plus vénérée de l'île, appelée Hoa Hakananai'a ou la briseuse de vagues, est enlevée par un navire de guerre américain. Le dernier symbole de la religion Rapa Nui est tombé.
Tyrannisés
Jean-Baptiste Dutrou Bornier, aventurier français, débarque en avril 1868. Il désire acheter les terres les plus fertiles pour pratiquer l'élevage. Rapidement, il se prétend roi de l'île et tyrannise les Rapa Nui. Il est mystérieusement assassiné en 1877.
LES MOAIS, GEANTS DE PIERRE

838 Moaïs sont recensés sur l'île. Ce sont des représentations de divinités et d'ancêtres. Chaque clan de l'île possédait les siens, disposés sur une plate-forme sacrée. Cette dernière, appelée Ahu, servait également de lieu de sépulture et était toujours installée le long des côtes.
Toutes les statues ont été érigées dos à la mer et face aux maisons, en symbole de protection. Selon la tradition, chaque Moaï porte la responsabilité de la partie du monde qu'il regarde
Les mégalythes ont, pour la plupart, été façonnés dans la roche du volcan Rano Raraku. Le choix de ce matériau tient à son extraordinaire malléabilité. Composé de cendres volcaniques compactées et de petits morceaux de basalte, il se prête parfaitement au travail de la pierre. Les Moaïs étaient entièrement réalisés dans la carrière. Chaque détail achevé, ils partaient pour leur destination finale.
Déplacés par une force suprême
La légende raconte que, transportés par une force suprême, le mana, ils marchaient d'eux-mêmes jusqu'à leur plate-forme. En réalité, l'opération nécessitait une quantité phénoménale de force et de temps.
Il semble que les Rapa Nui ne disposaient pas de suffisamment de bois pour faire rouler les idoles sur des rondins. Ils les auraient plus vraisemblablement déplacées en position debout, en les tirant par à coups à l'aide de cordes végétales, vers la droite puis vers la gauche.
Toutes les statues ont été érigées dos à la mer et face aux maisons, en symbole de protection. Selon la tradition, chaque Moaï porte la responsabilité de la partie du monde qu'il regarde
Les mégalythes ont, pour la plupart, été façonnés dans la roche du volcan Rano Raraku. Le choix de ce matériau tient à son extraordinaire malléabilité. Composé de cendres volcaniques compactées et de petits morceaux de basalte, il se prête parfaitement au travail de la pierre. Les Moaïs étaient entièrement réalisés dans la carrière. Chaque détail achevé, ils partaient pour leur destination finale.
Déplacés par une force suprême
La légende raconte que, transportés par une force suprême, le mana, ils marchaient d'eux-mêmes jusqu'à leur plate-forme. En réalité, l'opération nécessitait une quantité phénoménale de force et de temps.
Il semble que les Rapa Nui ne disposaient pas de suffisamment de bois pour faire rouler les idoles sur des rondins. Ils les auraient plus vraisemblablement déplacées en position debout, en les tirant par à coups à l'aide de cordes végétales, vers la droite puis vers la gauche.
MOAI TE PARO : LE GEANT DES GEANTS
Moai Te Paro est le plus haut Moaï jamais érigé sur l'île. Aujourd'hui renversé, il mesurait, pukao compris, 12 mètres de haut pour un poids de 80 tonnes. Sa plate-forme, Ahu Te Pito Kura, se situe à 6 km de la carrière. D'après des estimations scientifiques, il aurait fallu un an et 30 hommes pour sculpter ce Moaï, 2 mois et 90 hommes pour le déplacer, et 5 mois et 90 hommes pour l'ériger sur sa plate-forme. Une oeuvre colossale qui semble toutefois en dessous des ambitions et des capacités des Rapa Nui : c'est un Moaï de 21,65 mètres, appelé Te Tokanga, qui a été retrouvé en cours d'exécution dans la carrière. Une fois détaché, il aurait pesé 200 tonnes.
UNE BRUTALE DECHEANCE
Au fil du temps, les réalisations furent de plus en plus stylisées et imposantes. Les Rapa Nui s'étaient lancés dans une course aux grandeurs censée, devant les bouleversements climatiques et la raréfaction des vivres, apaiser les dieux et les ancêtres. Cet état de crise déclencha des guerres tribales à la fin du XVIIIe siècle. Les statues des clans adverses furent alors mises à bas en signe de représailles. Les rares à avoir été épargnées ont été renversées et pillées au XIXe siècle par les occidentaux. Ce n'est qu'au cours du XXe siècle, que certaines statues furent relevées par des scientifiques ou des mécènes étrangers.
En 1955, Thor Heyerdahl fait relever le Moaï solitaire de l'Ahu Ature Huki dans la baie d'Anakena. Le colosse est érigé en dix-huit jours grâce au savoir-faire de Pedro Atan, le maire du village. Il est toujours debout aujourd'hui.
Une langue Ancestrale
Le Rapa Nui est la langue des insulaires. Cousine lointaine du tahitien, elle est de type polynésien. Les indigènes se la transmettent de génération en génération depuis plus de 15 siècles. C'est une langue au rythme marqué et aux consonances douces. Les syllabes y sont souvent répétées, comme dans l'expression rongo rongo qui signifie écriture.
Aujourd'hui, sur les 4000 habitants de l'île, un tiers sont Chiliens et ne parle que l'espagnol. Mais les Rapa Nui se battent pour garder leur langue vivante et la faire évoluer avec la modernité.
L'alphabet Rapa Nui
A... se prononce comme en français
E... comme un accent aigu
H... comme un h aspiré en anglais
I... comme en français
K... comme en français
M... comme en français
N... comme en français
NG.. comme dans song en anglais
O... comme en français
P... comme en français
R... roulé sauf en début de mot
T... comme en français
U... comme “ou” en français
_'... son occlusif comme dans l'interjection anglaise “oh! oh”
---------------------------------------------------------------------------------------Une langue Ancestrale
Le Rapa Nui est la langue des insulaires. Cousine lointaine du tahitien, elle est de type polynésien. Les indigènes se la transmettent de génération en génération depuis plus de 15 siècles. C'est une langue au rythme marqué et aux consonances douces. Les syllabes y sont souvent répétées, comme dans l'expression rongo rongo qui signifie écriture.
Aujourd'hui, sur les 4000 habitants de l'île, un tiers sont Chiliens et ne parle que l'espagnol. Mais les Rapa Nui se battent pour garder leur langue vivante et la faire évoluer avec la modernité.
L'alphabet Rapa Nui
A... se prononce comme en français
E... comme un accent aigu
H... comme un h aspiré en anglais
I... comme en français
K... comme en français
M... comme en français
N... comme en français
NG.. comme dans song en anglais
O... comme en français
P... comme en français
R... roulé sauf en début de mot
T... comme en français
U... comme “ou” en français
_'... son occlusif comme dans l'interjection anglaise “oh! oh”
Tout le mérite de cet exposé - à peine interNATCOrrigé - revient à Krystal78 qui publia
la page originale, le 11 avril 2008, sur son blog-site : http://krystal78.unblog.fr/
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HAPPY PAKATOOS !
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A l'attention des adeptes
de l'incontournable "IN"secte(-: SI CE MESSAGE VOUS PLAIT AU POINT DE VOULOIR LE PARTAGER :-)
Vous n'avez qu'à cliquer sur votre cher ami : Vermonlien De Fesbouc