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Des balises pour ne plus baliser ;-) CHARC for SHARK !


Cliquez sur le squale si vous avez de l'humour :-)

Quand la raison prend enfin le pas sur l'émotion, l’humain retrouve son honorable dimension... et nous, le sourire :-) car ce nouveau programme CHARC s'annonce comme une belle occasion de nous enrichir au "contact" (balisé) de nos amis à ailerons. Le plus gros risque devient désormais celui de voir l’affolement des battements de coeur ne plus être la conséquence de la PEUR !!!... mais d'un sentiment bien plus respectable ! Il y a fort à craindre, en effet, de voir une idylle naître : ce qui arrive généralement quand on se décide à "plus fréquenter et mieux connaître" :-) >>> "HAPPY ENDING" en vue, capitaine !


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Mais avant de poursuivre et pour pallier une certaine méconnaissance de l'île de La Réunion, qui perce ici et là, nous profitons de ce retour sur sujet pour inscrire, une bonne fois pour toutes, en lettres majuscules, une petite précision (Oh! 3 fois rien ;-) systématiquement mise de côté (oubliée? ignorée?) par le "commente-à-tort" TV de base !? :
LA REUNION OFFRE AUX BAIGNEURS ET "SCUBA-DIVERS" (amateurs de fonds et faune sub-aquatiques équipés de masque et tuba) 25 km DE LAGON DONT L'AVANTAGE NON NEGLIGEABLE (à la différence des plages "plein océan" de Boucan-Canot et des Roches Noires) EST DE TYPE "TRIPLE PROTECTION" grâce à :
1° sa barrière de corail qui fait obstacle aux requins (et à tout ce que l'océan compte de gros morceaux).
2° sa barrière de corail qui protège des courants et de la houle (sauf éléments trop déchaînés bien sûr :-)
3° sa forêt de filaos dont l'ombre préserve efficacement et si "joliment" du soleil... (ça compte aussi!!!)
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Mardi 18 octobre 2011 : lancement et mise à l’eau du projet : CHARC

3 semaines après la "tentative" de « prélèvement » de squales qui s’est traduite par une seule prise, l’Etat vient de lancer un nouveau programme de marquage et de balisage, à destination des requins tigres et bouledogues. Un prélèvement qui revêt, cette fois, une vocation scientifique (même s’il n’est pas exclu d’occire les individus jugés suffisamment dangereux). Tournant la page très controversée de la pêche punitive, le Préfet a commandé une étude à long terme pour améliorer la connaissance des requins côtiers dont l’équipe réunionnaise de l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement) sera chargée de mission.

Baptisée Charc : Connaissance de l'HAbitat des Requins Côtiers de la Réunion (jeu de mots avec "shark" = "requin" en anglais), cette grande étude scientifique, financée par l'Etat et la Région, vise à établir une corrélation entre le comportement des requins et les facteurs du milieu, tels que courants, salinité, turbidité de l'eau, présence de poissons, tortues, pollution, etc.

Au total, 80 marquages seront effectués et deux caméras sous-marines installées pour les besoins de l'étude qui se déroulera sur 30 mois et comportera plusieurs volets.

Le programme s’articule autour de 3 phases.

1° : La première consiste à poser des marques sur des requins attrapés dans les zones d’attaque ou à proximité selon un rythme de 2 journées de pêche par semaine. Inconvénient : il faudra attendre de capturer l’animal de nouveau pour établir son éventuelle sédentarité. Il s’agit en réalité d’une pré-étude qui prépare le lancement plus tardif des marquages acoustiques.

2° : La deuxième consistera à implanter des balises émettrices acoustiques sur les requins. Celles-ci communiqueront avec un réseau de plusieurs dizaines de stations réceptrices installées le long des côtes lorsque les animaux traverseront les zones équipées. Objectif : déterminer les déplacements à courte distance des requins. Une version à grande échelle du projet initié par la Fédération de plongée et Abyss (voir [+] plus bas).

3° : La troisième sera lancée à plus long terme. Les requins seront, cette fois, équipés de balises émettrices satellite qui délivreront, une fois détachées et remontées à la surface, des informations sur les déplacements à grande échelle, dans la zone océan Indien.

Une étude similaire avait été mise en place en 2005 sur une plage d'Afrique du Sud, très fréquentée par les grands requins blancs (qui, nous le rappelons au passage, sont de bien réels et excessivement dangereux "mangeurs d'homme" - car avides boulotteurs de tout ce qui passe à leur portée - sans rapport aucun... DONC!!!... avec les très pusillanimes spécimens tropicaux qui fréquentent nos eaux chaudes). L'étude en question a fait ses preuves en permettant de réaliser une cartographie très précise du risque requins et donc de prévenir les usagers grâce à un système d'alerte.

Le lancement a donc eu lieu ce mardi 18 octobre à 4h du mat’ où, pendant 7h00 (jusqu’à 11h00), entre la plage des Brisants et celle des Roches Noires, a été mise à l’eau une palangre fixe verticale. Résultat : 0 prise. Les pêcheurs, à bord du Wayan, et les chercheurs, à bord du Pistoulet, repartiront pour une autre campagne dans la nuit de jeudi à vendredi (21/10), cette fois-ci à la palangre traînée. Une technique plus sûre, mais qui risque de blesser plus facilement les squales.
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Mise à jour du 22/10/2011 - Article du « Journal de l’île » :
Un premier requin tigre marqué au large de Boucan Canot

Une marque acoustique a été injectée dans l’abdomen de l’animal

Le compteur est ouvert. Les scientifiques sont parvenus ce vendredi (21/10) à marquer un requin tigre. La deuxième sortie en mer aura donc été la bonne. Vers 10h, l’équipage du "Wayan" a capturé un requin tigre femelle d’environ 2m70, à 5 milles nautiques de la zone de Boucan Canot. L’animal a mordu aux appâts d’une palangre dérivante. Postés à bord d’un autre bateau, les scientifiques ont pu greffer une boucle d’identification sur son aileron, avant de lui injecter une balise acoustique dans l’abdomen, après immobilisation sur le dos, position qui plonge le squale dans un état de léthargie.
"L’opération était délicate mais elle a été bien menée. On a posé trois points de suture sur l’animal, il n’y a pas eu de saignement faisant craindre une hémorragie", détaille Marc Soria, l’ingénieur de recherche à l’IRD. Une demi-heure plus tôt, dans la même zone, le pêcheur Thierry Gazzo avait eu une touche sur un plus gros spécimen, un tigre de 3m50, pesant entre 200 et 250 kg. "On a essayé de le fatiguer en l’immobilisant. Mais il s’est enroulé autour de la ligne et a fini par la casser", indique Marc Soria. Les pêcheurs de Saint-Gilles ont l’habitude de signaler des prises de requin tigre dans cette zone. En revanche, la pêche à l’aide de drum-lines fixes, effectuée près de la plage de Boucan entre 4h30 et 7h, n’a rien donné. "Il ne faut pas en tirer de conclusions hâtives, analyse Fanch Landron de l’association Squal’idées. La campagne ne fait que commencer. Au fil des sorties, on adaptera les techniques de pêche".
Bilan positif donc car l’opération avait également valeur de test pour la coordination de l’équipe scientifique chargée des marquages. Rappelons que l’IRD et Squal’idées auront également à plancher à long terme sur le projet Charc (étude de la population et de l’habitat des requins côtiers).
La troisième journée de marquage, prévue ce lundi, devrait être localisée entre Boucan Canot et le Cap la Houssaye. Avec l’objectif de cibler cette fois les requins bouledogues, espèce plus fréquemment impliquée dans les attaques sur l’homme. [Vincent Boyer]
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[+]
FFESSM et ABYSS également sur les rangs !

(inspiré du "Journal de l'île" du 13 octobre 2011)

Il s’agit d’une initiative privée qui utilisera également la technologique acoustique pour suivre les déplacements des squales au large de Saint-Paul. Des fonds ont été levés, le matériel est commandé et un plongeur spécialiste arrive mi-novembre.
Parce qu’ils considèrent que les recherches scientifiques commandées par l’Etat ne donneront des résultats que bien trop tard, des structures privées ont décidé d’engager leurs propres études sur les déplacements et les habitudes des requins côtiers de la Réunion. Ainsi, le comité régional de la Fédération Française d’Etudes et de Sports Sous-Marins (FFESSM) s’est joint à l’association Abyss pour rapidement mettre en place un programme.

Au sein d’Abyss, plus spécialiste des baleines que des requins, un travail est déjà mené depuis 3 ans sur l’écholocation.

C’est cette expertise que les membres de l’organisation veulent adapter aux squales. "Nous allons utiliser une technologie qui existe depuis 30 ans et qui est utilisée par des chercheurs dans le monde entier", explique Fabrice Schnöller, responsable scientifique d’Abyss (diplômé de l’Ecole Centrale avec un Master en Biologie). "Concrètement, les opérations devraient consister à implanter sur les squales des balises émettrices de fréquences ultrasonores codées dont la portée varie entre 500 mètres et 1 km selon le bruit environnant. Concrètement, soit on pêche le requin pour lui fixer la cartouche à la main, soit on fait descendre un plongeur en apnée qui positionne le boîtier avec un harpon", explique le membre d’Abyss qui retient pour le moment la 2e méthode.

L’un des meilleurs spécialistes mondiaux de l’exercice, doit arriver à la Réunion mi-novembre. Il s’agit de Fred Buyle, ex-recordman du monde d’apnée, reconvertit dans la photographie et le marquage des requins. Il est notamment connu pour ses opérations sur les grands blancs d’Afrique du sud et du Mexique. <<< À noter que chaque marquage sera filmé et donnera lieu à des notes techniques (espèce, taille, météo, température de l’eau etc.).

Deux récepteurs en baie de Saint-Paul

Les fréquences émises seront ensuite captées par des balises réceptives fixées au fond de l’eau, qui permettront ainsi de connaître les sens, les heures et les fréquences de déplacement des squales marqués. "Pour le moment, nous avons retenu deux sites, hors Réserve, puisque nous n’avons pas le droit. Probablement autour du cap La Houssaye et de la tonne dans la baie de Saint-Paul", explique encore Fabrice Schnöller.
Si le feu vert leur est donné, Abyss et ses partenaires placeront ensuite des récepteurs au plus près des zones où les attaques ont eu lieu cette année. Charge ensuite à des partenaires de l’opération de récupérer les informations sur les balises à intervalles réguliers, chaque jour ou chaque semaine, pour les ramener à terre et les partager. "Ce seront des données Open Source disponibles pour les scientifiques, les élus, les MNS et toutes les personnes concernées par le dossier requin", explique-t-on à Abyss.

Trois mois de tests bénévoles

Pour le moment, l’opération est en phase de financement. 6 000 euros de fonds ont déjà été levés et la souscription continue. La balise émettrice coûte environ 300 euros pièce pour une durée moyenne de fonctionnement de 3 mois. "On souhaite recueillir un maximum d’argent pour pouvoir marquer un maximum de requins", expliquent les initiateurs du projet.
Une commande a déjà été passée chez le fabricant canadien du dispositif, Vemco, spécialiste de la télémétrie acoustique.
La livraison est programmée dans un mois environ et les opérations pourront donc commencer dans la foulée si les formalités de douane ne viennent pas bouleverser le calendrier.
La première phase de l’étude durera trois mois. C’est le temps durant lequel Abyss œuvrera bénévolement sur ce projet.
Au-delà ? "Cela dépendra des résultats obtenus", répond le patron du comité régional de la FFESSM, Georges Masanelli. "Si nos actions sont valables, on pourra pérenniser l’opération sur plusieurs années à condition de trouver des fonds, privés, chez nos adhérents, ou publics".

Le regard de l’Etat et des collectivités sur ce programme sera déterminant.

Pour le moment, l’accueil est plutôt froid. La DEAL (+) vérifie actuellement la légalité de ces opérations de marquage. "On ne sait pas pour le moment si n’importe qui peut aller marquer n’importe quel animal sauvage. C’est interdit par exemple de baguer les oiseaux", confirme le sous-préfet de Saint-Paul qui coordonne l’action de l’Etat dans ce dossier requin et notamment son volet scientifique.
Thomas Campeaux affirme regarder "avec beaucoup d’attention" cette initiative privée. "Il faut voir comment on peut intégrer ça dans notre dispositif. Il ne faut pas que cela perturbe les études scientifiques que nous allons mener ou que cela nous fasse perdre des informations. Mais il n’y a pas d’opposition par principe". Georges Masanelli évoque l’idée d’une mise en commun des résultats au cours et à l’issue de l’étude. Fabrice Schnöller rappelle, lui, que de nombreuses ONG dans le monde mènent des études scientifiques avec le soutien financier des pouvoirs publics. Les perches sont tendues.

(+) la DEAL : Direction de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement remplace depuis le 01/01/2011 la Direction Départementale de l'Equipement (DDE), la Direction Régionale de l'Environnement (DIREN), la police de l'eau de la Direction de l'Agriculture et de la Forêt (DAF) et la Direction Régionale de l'Industrie, de la recherche et de l'Environnement (DRIRE, hormis le développement industriel et la métrologie). << Sa création résulte de la réforme de l'Etat et des suites du Conseil Interministériel de l'Outre-Mer recommandant la mise en place, dans les départements d'outre-mer, d'administrations adaptées aux contextes et besoins locaux. Voir Rapport DEAL sur Action Requins

Vers un suivi en temps réel

Fabrice Schnöller planche parallèlement dans les locaux de sa start-up, Click’Research, sur un prototype de bouée radio à modem acoustique. Le dispositif est déjà actif sur les côtes australiennes où il sert notamment au marquage des requins mais il a le défaut de coûter extrêmement cher. L’idée est donc d’en développer un modèle local à bas coût.
Si l’expérience est concluante, cette technologie permettra de capter les ondes ultrasonores émises par les balises sur les requins marqués et de les transmettre à terre en temps réel. Concrètement, il serait possible de prévenir les MNS de l’arrivée à proximité des plages de tel ou tel requin de grande taille.
Fabrice Schnöller affirme pouvoir proposer une bouée performante dès le mois de janvier prochain.
D’après un article de Romain Latournerie - à peine interNATCOrrigé

Pour en finir avec ce requin qui fait couler plus d'encre que de sang,
que diriez-vous de nous pencher sur certaines cultures éthniques
où le requin, loin d'être abhorré, est idolâtré et vénéré ?


Cette statue (Musée du Quai Branly) représente l’homme-requin du Dahomey,
- autrement dit le roi Behanzin - qui régnait sur l’actuel Bénin autour de 1890.
Symbole de la résistance aux Français, le requin était présent sur ses armoiries.


Monstrueux, le requin ? Pas pour tout le monde !... car selon les territoires, selon les cultures, le squale n’est pas forcément associé au mal ou à la violence.

Ainsi, dans plusieurs traditions polynésiennes, un culte respectueux était voué au requin Mako, considéré comme la réincarnation des ancêtres disparus, entité veillant sur les membres de la famille qui partent en mer. Ces réincarnations sont appelées “aumakua” et peuvent prendre diverses formes, animales (requins mais aussi tortues de mer, lézards...) ou végétales. Chaque famille “possédait” donc “son” requin mako, et la dévotion dont il faisait l’objet incluait que l’on ne perturbe pas la vie de l’animal dans son milieu naturel. Lorsqu’un pêcheur, sur son embarcation, revenait sain et sauf d’une sortie en mer qui avait mal tournée, gloire était rendue à son requin protecteur.

De même, dans la mythologie maorie (Nouvelle-Zélande), le demi-Dieu Maui forma la Voie lactée en plaçant le requin (appelé Te Mangoroa) dans le ciel. Les requins, ainsi que les raies, étaient considérés comme les enfants du Dieu Punga, connu pour sa laideur. Certaines légendes maories racontent que le gardien des océans, Ruamanao, prit la forme d’un requin mako, que l’on invoquait en cas de chavirage ou d’échouage d’un bateau. Une autre relate l’histoire d’un équipage qui fut littéralement avalé par un monstre des mers avant d’être sauvé par un requin. Ce qui n’empêchait pas les Maoris de lancer des campagnes de pêche, mais à des jours bien précis, hors desquels les contrevenants s’exposaient à la confiscation de leurs biens. La pêche se déroulait selon des techniques bien précises afin de ne pas endommager les dents, considérées comme précieuses. Elles étaient utilisées en bracelets, colliers ou boucles d’oreilles, les plus courues étant les dents de requin blanc. Selon les espèces, les dents pouvaient également servir de lame de couteau. Quant à la graisse de requin, elle entrait dans la composition de produits cosmétiques.

Dans l’archipel d’Hawaï, chaque île a son roi-requin. Au large du port d’Honolulu règne le « Dieu des Dieux » : Kamo-Hoa-Lii, le maître de tous les requins d’Hawaï et de Maui. Il est censé vivre dans différentes cavernes aux environs de l’île et est doté de pouvoirs surnaturels comme celui de prévoir les vents et les dangers de l’océan.

Au Japon, en revanche, les squales furent et demeurent associés à la terreur. Une légende narre l’histoire d’un petit lapin qui, après avoir convaincu les requins de se mettre en file indienne pour l’aider à franchir un obstacle, fut finalement dépecé par l’un d’eux.

Notons, enfin, que des peuplades particulièrement guerrières, telles que l'éthnie allemande, dans un 1er temps, suivie rapidement par l'américaine, se complurent à peindre le motif d'une mâchoire de requin ouverte, au bas du nez de leurs chasseurs à hélice ou à réaction.
Créé par des aviateurs allemands pendant la Première Guerre mondiale, cette denture de squale ostentatoire orna les "Messerschmitt Bf 110" du "Zerstörergeschwader 76". Les aviateurs alliés s'en inspirèrent sur les "Curtiss P-40" des "Tigres volants" pilotés par des volontaires américains contre les Japonais pendant la Seconde Guerre mondiale ; ainsi que sur les "P-38 Lightnings" du "39th Fighter Squadron".
Ce motif "terrifiant" de gueule de requin est toujours utilisé de nos jours, notamment sur les "A-10 Thunderbolt II" où il intègre la présence du canon à tir rapide "GAU-8 Avenger 30mm".


Curtiss P-40

A-10 Thunderbolt II

Bref, à chacun ses croyances et ses superstitions... Il n'empêche que celles qui, en évitant l'écueil de la facilité se gardent de sombrer dans la TERREUR, recueillent indiscutablement notre faveur !!

Allezoo ! Zavézu vot' dose d'(aqua)culture, pouvézaler re-vaquer à vos inoccupations !

A l'attention des adeptes de l'incontournable "IN"secte
(-: SI CE MESSAGE VOUS PLAIT AU POINT DE VOULOIR LE PARTAGER :-)
Vous n'avez qu'à cliquer sur votre cher ami : Vermonlien De Fesbouc
.See you soon aboard the R-bus974 of the intermpanydont la devise est "+ on est de oufs, + on pouffe!"