Des feux du 7ème art qui, 5 jours durant, enflammèrent Saints Paul et Gilles avant de s’éteindre dans la nuit de samedi, le flambeau fut transmis, dimanche matin, à Odyssea dont la mouvante et émouvante flamme rose embrasa aussitôt la forêt d’Etang-Salé, serpentant à la foulée des 14 400 pieds inscrits, additionnés de quelques orteils non répertoriés :-)
Une flamme animée du désir de s’unir et bouger pour servir la lutte contre le cancer du sein et lui apporter son soutien !
Une flamme animée du désir de s’unir et bouger pour servir la lutte contre le cancer du sein et lui apporter son soutien !
Mission accomplie ! En voici la preuve en images :-)
Mais remontons le temps jusqu’au présent de l’objectif de notre « Festival du Cinéma de La Réunion » qui nous offrit la primeur de 4 œuvres de qualité (parmi les 6 en compétition) particulièrement puissantes et abouties.
PETIT RECIT DE NOS CINEMaVENTURES !
Cette année, c’est la cérémonie d’ouverture [avec projection du très sympathique « Intouchables » d’Eric Toledano & Olivier Nakache] que nous avons réussi à infiltrer ! << sans invit’ ce fut chaud mais comme notre vaillance ne craint pas l’impossible et se plait même singulièrement à s'y frotter… elle fut encore récompensée !
Pour que vous en profitiez aussi un peu, on a capturé plein d'images qui bougent et qui parlent : des vidéos, quoi !... qu'on vous laisse apprécier !
Pour que vous en profitiez aussi un peu, on a capturé plein d'images qui bougent et qui parlent : des vidéos, quoi !... qu'on vous laisse apprécier !
1ère partie : ouverture du festival - Patrick Timsit et les autres...
2ème partie : thème de l'Outremer
3ème partie : présentation du Jury
En revanche, notre accès à celle de clôture fut totalement compromis par la séance tardive du film de Gabriel Aghion "Un Autre Monde" (tourné en mai/juin sur l'île) donné en avant-première et en présence du réalisateur et quelques comédiens, dont le débordement fut fatal à toute possibilité d’infiltration renouvelée !
Mais nous n’eûmes aucun regret, en fait, car seule la remise des Mascarins nous intéressait, contrairement au film en projection : « Les Lyonnais » d’Olivier Marchal (dont nous ne sommes absolument pas fans du style de cinéma : grosse machinerie à brasser de la sueur, de la noirceur, de la violence, sans un gramme de finesse pour relever le tout) que nous craignions fort de ne pouvoir supporter jusqu’au bout. Le sort joua donc en notre faveur en nous épargnant ce supplice que nous confirma Gilles Lellouche (débarqué à mi-parcours du festival car en plein montage de son propre film) qui nous rejoint devant le ciné - une demi-heure après le début du navet susnommé - désespéré et très énervé par l’outrance et l’inutilité d’un tel cinéma de « mecs » !!
Mais nous n’eûmes aucun regret, en fait, car seule la remise des Mascarins nous intéressait, contrairement au film en projection : « Les Lyonnais » d’Olivier Marchal (dont nous ne sommes absolument pas fans du style de cinéma : grosse machinerie à brasser de la sueur, de la noirceur, de la violence, sans un gramme de finesse pour relever le tout) que nous craignions fort de ne pouvoir supporter jusqu’au bout. Le sort joua donc en notre faveur en nous épargnant ce supplice que nous confirma Gilles Lellouche (débarqué à mi-parcours du festival car en plein montage de son propre film) qui nous rejoint devant le ciné - une demi-heure après le début du navet susnommé - désespéré et très énervé par l’outrance et l’inutilité d’un tel cinéma de « mecs » !!
Un bonheur n’arrivant jamais seul : échapper aux « Lyonnais » nous permit d’attraper (pour la 1ère fois, vu que d’habitude on est en salle) les heureux lauréats à leur sortie pour la séance photo (à laquelle notre appareil ne résista pas, saisissant l’occasion d’assouvir son fantasme de photo-journalisme« cinémalier » !)
Angle différent pour une même prise photographique :
Eric Lejoyeux (pour le JIR) a dégainé en même temps !
C’est amusant !
(Semi-profils pour nous, pleines faces pour lui !)
De gauche à droite, vous avez :
Valérie Zenatti et Thierry Binisti, scénariste et réalisateur du film Une bouteille à la mer : Mascarin du public + Mascarin de la meilleure interprétation masculine pour Mahmoud Shalaby.
Pierre Pinaud, réalisateur du film Parlez moi de vous : Mascarin du meilleur film + Mascarin de la meilleure interprétation féminine pour Karine Viard.
Delphine et Muriel Coulin, réalisatrices du film 17 filles : Prix du jury jeune de la meilleure interprétation féminine pour Yara Pilartz.
Nicolas Maury, 1er rôle dans le film Let my people go de Mikael Buch : Prix du jury jeune de la meilleure interprétation masculine.
Pierre Pinaud, réalisateur du film Parlez moi de vous : Mascarin du meilleur film + Mascarin de la meilleure interprétation féminine pour Karine Viard.
Delphine et Muriel Coulin, réalisatrices du film 17 filles : Prix du jury jeune de la meilleure interprétation féminine pour Yara Pilartz.
Nicolas Maury, 1er rôle dans le film Let my people go de Mikael Buch : Prix du jury jeune de la meilleure interprétation masculine.
BONUS : Sortie des jurés (1er jour) + Présentation "Un autre monde"
avec Gabriel Aghion et ses comédiens + Sortie des lauréats (dernier jour)
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Cela nous a permis de rediscuter en mode « tranche papaye » (c’est-à-dire en arborant de larges sourires !) avec nos réalisateurs préférés (puisque le choix du jury fut identique au nôtre), tous irradiant du bonheur d’avoir été primés. Quel plaisir de partager ce délicieux moment d’euphorie (le mot n’est pas trop fort !) éprouvé par ces « débutants » à l’aube d’une carrière cinématographique naissante… encore « purs » et « humbles » devant le succès et non « dégrisés » par un milieu où l’égo prend vite le dessus.
ENFIN… la soirée avançant, nous décidâmes de faire exception à la règle et ne pas nous rendre au cocktail final donné à l’Hôtel du Lagon. Celui offert en ouverture nous avait déjà champagnisées à souhait et comme nous tenions à être en forme pour la course Odysséa du lendemain matin, le choix fut vite fait, suffisamment éprouvées que nous étions par 5 jours de projections très intenses, affichant un total de 9 au compteur !
ENFIN… la soirée avançant, nous décidâmes de faire exception à la règle et ne pas nous rendre au cocktail final donné à l’Hôtel du Lagon. Celui offert en ouverture nous avait déjà champagnisées à souhait et comme nous tenions à être en forme pour la course Odysséa du lendemain matin, le choix fut vite fait, suffisamment éprouvées que nous étions par 5 jours de projections très intenses, affichant un total de 9 au compteur !
Une nouvelle fois, Fabienne Redt (Présidente du Festival) nous a comblées !
Merci à elle… et « vivement l’année prochaine ! »
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Pour les amateurs de critiques explicites, voici les nôtres :
17 FILLES

« 17 filles » est un film remarquable par la mise en lumière très personnelle et originale, à la fois tendre et sans concession, mais surtout tellement juste !!... de l’état d’adolescence où insouciance et désespérance se renvoient la balle, comme la rage de vivre alterne avec son mal ! Tout l'art est d'être parvenu, à travers ce fait divers américain (En 2008, dans l’Etat du Massachussetts, 17 jeunes filles de l'école Gloucester High School ont conclu un pacte et décider de tomber enceintes en même temps) que les réalisatrives, Delphine et Muriel Coulin, ont transposé à Lorient (leur ville natale, très similaire à l'originale, située juste de l’autre côté de l’océan), à toucher l’universel, c’est-à-dire à saisir cet irrépressible instinct de survie que la fougue et l’impétuosité de la jeunesse transcendent, cette énergie immaîtrisée qui porte à refuser le monde tel que les adultes se résignent à le laisser dériver et à aspirer, contre vents et marées, à le changer ! Faire bouger les choses, autour de soi ou en soi, de quelque manière que ce soit, devient vital, même s’il est déraisonné et parce qu’il est déraisonnable, tout échappatoire devient plausible et envisageable!!!
Les sœurs Coulin, avec qui nous avons eu la chance d’échanger seules à seules (c’est-à-dire 2 à 2 :-) quelques impressions et réflexions, sont des femmes épatantes qui méritent vraiment de poursuivre dans la voie du 7ème Art car, avec elles, c’est sûr, la pellicule n’est pas gâchée !
------------------------------------------------------------------------------Les sœurs Coulin, avec qui nous avons eu la chance d’échanger seules à seules (c’est-à-dire 2 à 2 :-) quelques impressions et réflexions, sont des femmes épatantes qui méritent vraiment de poursuivre dans la voie du 7ème Art car, avec elles, c’est sûr, la pellicule n’est pas gâchée !
UNE BOUTEILLE A LA MER

Idem pour Thierry Binisti, le talentueux réalisateur du très utile et bouleversant « Une bouteille à la mer » qui - après le déjà fantastique « Miral » de Julian Schnabel (sorti en 2010) - ajoute sa pierre à l’édifice d’une meilleure appréhension (au sens de captation et non de crainte) de l’inextricable conflit israélo-palestinien !
Son 1er long-métrage : "l'Outremangeur" (sorti en 2003, avec Cantona) nous avait déjà laissé présager de son talent qu'il confirme et assoie avec cette 2ème oeuvre (en forme de chef) dont Valérie Zenatti (auteur du livre que Thierry Binisti a souhaité adapter) fut la scénariste et complice.
Ce film est une réussite totale, dotée d’une efficacité et d’un charme fous !! Il vous tient en haleine, de bout en bout, vous connecte à la grande Histoire à travers la petite… si habilement écrite ! Cette bouteille à la mer vous embarque et vous ballote jusqu’au générique de fin qui ne vous laisse pas sur la vôtre, loin de là…
Thierry et Valérie sont de ces gens rares qui font changer les choses ! 2 ans de préparation, un tournage difficile en terme d’organisation et de sécurité, d’innombrables demandes d’autorisation avec, par exemple, la prouesse de pouvoir filmer, et donc nous donner à voir pour la 1ère fois, le check-point d'Erez, principal point de passage reliant Israël à la bande de Gaza.
Quand faire du cinéma devient faire de la réalité en réussissant grâce au souffle de la fiction à redonner vie et corps à un état de faits (en l'occurrence : l’effet de « non-Etat » !!), cela nous extrait de la redondance, dénuée de substance, d'une info chiffrée, macabre et déshumanisée, que l’on nous balance sans la décrypter et qui finit par ne plus rien signifier !
------------------------------------------------------------------------------Son 1er long-métrage : "l'Outremangeur" (sorti en 2003, avec Cantona) nous avait déjà laissé présager de son talent qu'il confirme et assoie avec cette 2ème oeuvre (en forme de chef) dont Valérie Zenatti (auteur du livre que Thierry Binisti a souhaité adapter) fut la scénariste et complice.
Ce film est une réussite totale, dotée d’une efficacité et d’un charme fous !! Il vous tient en haleine, de bout en bout, vous connecte à la grande Histoire à travers la petite… si habilement écrite ! Cette bouteille à la mer vous embarque et vous ballote jusqu’au générique de fin qui ne vous laisse pas sur la vôtre, loin de là…
Thierry et Valérie sont de ces gens rares qui font changer les choses ! 2 ans de préparation, un tournage difficile en terme d’organisation et de sécurité, d’innombrables demandes d’autorisation avec, par exemple, la prouesse de pouvoir filmer, et donc nous donner à voir pour la 1ère fois, le check-point d'Erez, principal point de passage reliant Israël à la bande de Gaza.
Quand faire du cinéma devient faire de la réalité en réussissant grâce au souffle de la fiction à redonner vie et corps à un état de faits (en l'occurrence : l’effet de « non-Etat » !!), cela nous extrait de la redondance, dénuée de substance, d'une info chiffrée, macabre et déshumanisée, que l’on nous balance sans la décrypter et qui finit par ne plus rien signifier !
PARLEZ-MOI DE VOUS

Notre 3ème coup de cœur - plus cool - fut « Parlez-moi de vous » de Pierre Pinaud, avec qui nous avons également pu sympathiser en privé. Ce jeune homme très prometteur devrait connaître une carrière florissante. Avec Karine Viard pour tête d’affiche, déjà, il commence fort ! Et comme il la sert sur un plateau doré en lui offrant un de ses plus beaux rôles et une mise en valeur comme on lui en accorde peu, il a toutes ses chances de voir les actrices sonner à sa porte pour participer à son prochain long !
Sur le ton de la comédie et sous ses airs de ne pas y toucher, il vous dépeint une réalité sociale bien palpable et un questionnement sur les notions de famille et filiation que son talent recouvre joliment des dentelles de la légèreté !
------------------------------------------------------------------------------Sur le ton de la comédie et sous ses airs de ne pas y toucher, il vous dépeint une réalité sociale bien palpable et un questionnement sur les notions de famille et filiation que son talent recouvre joliment des dentelles de la légèreté !
LET MY PEOPLE GO

Enfin, il y eut aussi « Let my people go » de Mikael Buch qui ne manque pas de qualités, notamment celles de la loufoquerie, de l’audace et du « politiquement incorrect » mais vu la concurrence, il nous faut le placer un cran en-dessous des pièces de choix précédemment citées ! C’est une folle bluette qui sort de l’ordinaire et qui offre à Nicolas Maury un rôle sur mesure qu’il exécute dans toute sa démesure !!! Bravo à lui.
------------------------------------------------------------------------------DES VENTS CONTRAIRES

Descendons encore de quelques crans pour en venir au film « Des vents contraires » de Jalil Lespert qui ne fut pas à la hauteur de nos attentes… ou du moins de celles qu’on entendait vibrer autour de nous !
Pas de quoi fouetter un chat… mais le réalisateur plutôt !… pour manque de style, d’invention, de jeunesse (la sienne)... et pour avoir traité sans envergure un sujet lourd et délicat dont il n’a pu éviter les écueils !
L’excuse pourrait être qu’il s’agit d’un film de commande : c’est Olivier Adam, l’auteur du livre, qui lui a demandé de l’adapter à l’écran. Hélas, ce que Philippe Lioret a brillamment réussi en 2006 avec « Je vais bien, ne t'en fais pas » (autre roman d’Olivier Adam), Jalil n’est pas parvenu à le renouveler ! Mais bon, il est vrai que Philippe Lioret n’est pas n’importe quel cinéaste ! A Jalil, donc… d’en devenir un !
« 24 mesures », son 1er film, sorti en 2007, était lui aussi inabouti et plein de maladresses, il faut sérieusement qu’il essaie de s’appliquer, à l’avenir !
------------------------------------------------------------------------------Pas de quoi fouetter un chat… mais le réalisateur plutôt !… pour manque de style, d’invention, de jeunesse (la sienne)... et pour avoir traité sans envergure un sujet lourd et délicat dont il n’a pu éviter les écueils !
L’excuse pourrait être qu’il s’agit d’un film de commande : c’est Olivier Adam, l’auteur du livre, qui lui a demandé de l’adapter à l’écran. Hélas, ce que Philippe Lioret a brillamment réussi en 2006 avec « Je vais bien, ne t'en fais pas » (autre roman d’Olivier Adam), Jalil n’est pas parvenu à le renouveler ! Mais bon, il est vrai que Philippe Lioret n’est pas n’importe quel cinéaste ! A Jalil, donc… d’en devenir un !
« 24 mesures », son 1er film, sorti en 2007, était lui aussi inabouti et plein de maladresses, il faut sérieusement qu’il essaie de s’appliquer, à l’avenir !
FORCES SPECIALES

Pour finir, venons-en à l’erreur de programmation manifeste ! Un gros blockbuster qui ne manquera pas d’attirer les foules autant qu’il a « répulsé » notre attention !!
« Forces Spéciales » (vous l’aurez compris) est un gros film (réalisé par Stéphane Rybojad), avec de gros moyens et un gros casting, qui n’a d’autre but, dans le fond et dans la forme (parfaits pour séduire les mâles en mal de joujoux détonants et de testostérone) que de servir la soupe au Roitelet de l'Elysée en vantant jusqu’au ridicule le mérite et l’héroïsme des Unités spéciales françaises, vous savez ces commandos avec des types hors du commun qui interviennent au péril de leur vie, pour des missions que même Bruce Willis refuserait :-) Si, si !
Sérieux, ce genre de propagande à 2 balles pour redorer le blason d’une armée dont l’usage est de plus en plus controversé, il faut le laisser aux Américains, qui sont passés maîtres dans ce type d’exercice de bas étage !
Toutefois, si vous aimez les gros plans sur des belles gueules, des dialogues ciselés à la kalachnikov, des images tellement léchées qu’elles en dégoulinent, des fusillades interminables, des ralentis à mourir de rire (alors que l’on est censé s’émouvoir de la mort d’un des héros qui à force d’avoir survécu à la survivance de sa survie finit quand même par crever !!! Ouf ! On n’en pouvait plus !), bref, si le défilement de clichés bien rangés en ligne les uns derrière les autres, vous fait palpiter… alors vous aimerez !!!
On lui a mis 2/10 pour les décors… car l’Afghanistan vu d’avion fut notre seule consolation d’avoir perdu 1h50 de notre temps !
A la question : « comment un tel produit si formaté avait pu obtenir la sélection ? » La réponse fut : « c’est la preuve que notre Festival n’est pas sectaire et donne sa chance à tout type de cinéma ».
------------------------------------------------------------------------------« Forces Spéciales » (vous l’aurez compris) est un gros film (réalisé par Stéphane Rybojad), avec de gros moyens et un gros casting, qui n’a d’autre but, dans le fond et dans la forme (parfaits pour séduire les mâles en mal de joujoux détonants et de testostérone) que de servir la soupe au Roitelet de l'Elysée en vantant jusqu’au ridicule le mérite et l’héroïsme des Unités spéciales françaises, vous savez ces commandos avec des types hors du commun qui interviennent au péril de leur vie, pour des missions que même Bruce Willis refuserait :-) Si, si !
Sérieux, ce genre de propagande à 2 balles pour redorer le blason d’une armée dont l’usage est de plus en plus controversé, il faut le laisser aux Américains, qui sont passés maîtres dans ce type d’exercice de bas étage !
Toutefois, si vous aimez les gros plans sur des belles gueules, des dialogues ciselés à la kalachnikov, des images tellement léchées qu’elles en dégoulinent, des fusillades interminables, des ralentis à mourir de rire (alors que l’on est censé s’émouvoir de la mort d’un des héros qui à force d’avoir survécu à la survivance de sa survie finit quand même par crever !!! Ouf ! On n’en pouvait plus !), bref, si le défilement de clichés bien rangés en ligne les uns derrière les autres, vous fait palpiter… alors vous aimerez !!!
On lui a mis 2/10 pour les décors… car l’Afghanistan vu d’avion fut notre seule consolation d’avoir perdu 1h50 de notre temps !
A la question : « comment un tel produit si formaté avait pu obtenir la sélection ? » La réponse fut : « c’est la preuve que notre Festival n’est pas sectaire et donne sa chance à tout type de cinéma ».
Sur ce, @+... et n’oubliez pas :
« Allez au cinéma !... mais pas pour cautionner n’importe quoi !!! »
et aussi « Faites du sport !!... car pas de saine pensée sans sain corps ! »
(105 heures, ça fait un bon paquet d'minutes, dis-donc ?! 6300, pour être précises !)
A l'attention des adeptes
de l'incontournable "IN"secte
(-: SI CE MESSAGE VOUS PLAIT AU POINT DE VOULOIR LE PARTAGER :-)
Vous n'avez qu'à cliquer sur votre cher ami : Vermonlien De Fesbouc