En attendant de résoudre l’énigme du trésor caché de La Buse, La Réunion va peut-être permettre d’élucider le mystère du crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines, vol MH370 !
Difficile de ne pas se réjouir de cette formidable opportunité (que l'on aurait pu qualifiée de "tombée du ciel" si les circonstances originelles n'étaient si dramatiques) offerte soudain à notre île de rayonner et de faire parler d’elle dans le monde entier !!
Franchement, bravo l’IRT (Île de La Réunion Tourisme) : le coup du fragment d'épave retrouvé, fallait y penser !! ;-)
Comme il est doux d'entendre le nom de notre île prononcé, avec plus en moins de réussite, sur toutes les ondes et les écrans de la planète !
"Reunion Island", "Island of La Réunion", "Island of the Reunion"... tout est bon to #gotoreunion !
Il faut dire que la découverte est de taille ! Aussi importante qu'inespérée après un an de vaines recherches menées conjointement par des navires malaisiens et australiens !
Notre colossale houle d'hiver austral a-t-elle transporté, jusqu'à la côte saint-andréenne, sur le dos de ses puissantes déferlantes, un élément déterminant capable de tout remettre en question... et en réponse ?!
C'est une lueur d'espoir qui, avec ce bout d'aile, a jailli du néant, du fond de l'océan. Cette lueur apportera-t-elle l'éclaircissement tant attendu sur une très sombre catastrophe aérienne, restée inexpliquée à ce jour !
Les gendarmes et policiers se sont affairés, ce mercredi 29 juillet 2015, autour du fameux morceau d'aile trouvé, le matin, échoué sur le rivage de Saint-André. Tout le monde a songé bien sûr aussitôt au vol MH370 et au Boeing 777 de Malaysia Airlines disparu en mars 2014 alors qu’il effectuait la liaison entre Kuala Lumpur et Pékin avec 239 personnes à son bord.
Ils mesurent, photographient sous différents angles, analysent les coquillages qui ont colonisé le débris et le degré d'usure… afin de déterminer combien de temps le fragment a séjourné dans l’eau.
Chaque pièce d’un avion étant référencée, on devrait pouvoir retrouver rapidement le type d’appareil et à quelle compagnie il appartient. Les analyses se sont poursuivies dans les locaux de la BGTA (Brigade de Gendarmerie des Transports aériens).
Long de près de 2 mètres, il aura fallu 5 hommes pour transporter ce conséquent débris d'aéronef.
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Juste pour le fun, quelques arrêts sur images diffusées sur CNN !
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