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Noël-No Hell… but Purchase-Paradise ! ;-) - 19/12/14

Jingle bills Bees FB

Allez! Un peu d’humour dans ce monde de 'bûches' !! Juste un trait de dérision pour griffer cette mascarade enguirlandée à laquelle il est difficile, même aux plus réfractaires (comme nous) d’échapper ! Difficile, oui, de garder immaculée sa propre conception des choses quand jaillissent, de tous côtés, les *éclats-bouzZzures* (de rennes!) que la célébration de Noël et son maelström consumériste font subir à l'ensemble des Gaulois (comme à tous les peuples *évangélisés*) dont la 'Christianisation historique' se transforme en une 'crétinisation hystérique' et envahit l'espace publ(a)ïc à l’approche du 25 décembre. Le pire étant que cette frénésie fanatique n'a plus grand chose à voir avec la naissance du petit Jésus (dont le sang est vin) mais tout à faire (affaire!) avec l'arrivée, par conduit de cheminée, d’un gros barbu (dont le rouge est soda) !

Santa Claustmas FB

Dieu, qui a pris l’habitude de susurrer à l’oreille des abeilles, nous a confié, encore hier, être outré de voir la dérive mercantile occasionnée – primo - par ce *Santa Claus* (appelé *Papa Noël* dans les nations francophones) qui, sans vergogne mais avec traîneau, a calé son méfait pile-poil sur la – secundo - date anniversaire de la délirante naissance du fils d’un charpentier (qu'un rapide test ADN, aujourd'hui, confondrait!) dans une étable ?!

Santa cola Rockwell FB

Du 1er phénomène, notre Tout-Puissant ami ne s’étonne guère car il le considère comme le juste fruit du « Business is Business » qui est, bien avant « God bless America », la vraie devise des Etats-Unis... mais du 2nd, il n’en revient toujours pas. Il se demande comment cette ânerie 'fabuleuse' au sens 'litièr'al' du 'terme' a pu faire un tel boeuf... euh... un tel buzz, à l'époque!!... et persister avec le temps ! Comment cette bluette à l'eau de jasmin a pu prendre une telle ampleur et occasionner tant d'aliénation mentale ??!

Noël vue par les Bees FB

Enfin! Heureusement que Didi, comme il aime qu’on le surnomme, a un profond sens de la dérision (on l’apprécie beaucoup pour cet Esprit très sain qu'il est et qu'il a !) et sait s'amuser, avec son compère Desproges (dont c’est le meilleur pote) de la si grégaire bêtise humaine. C'est sûr qu’avec l’ami Pierrot, on est loin de patauger dans la farce bien grasse ! On savoure plutôt une bonne tranche d’éloquence cocasse !

Extrait du
« Dictionnaire superflu à l’usage de l’élite et des bien nantis »
de Pierre Desporges (1985 - Éditions du Seuil, Points)

N

NOËL : nom donné par les chrétiens à l’ensemble des festivités commémoratives de l’anniversaire de la naissance de Jésus-Christ, dit « le Nazaréen », célèbre illusionniste palestinien de la première année du premier siècle pendant lui-même. Chez le chrétien moyen, les festivités de Noël s’étalent du 24 décembre au soir au 25 décembre au crépuscule. Ces festivités sont : le dîner, la messe de minuit (facultative), le réveillon, le vomi du réveillon, la remise des cadeaux, le déjeuner de Noël, le vomi du déjeuner de Noël et la bise à la tante qui pique.

Le dîner : généralement frugal ; rillettes, pâté, coup de rouge, poulet froid, coup de rouge, coup de rouge. Il n’a d’autre fonction que de « caler » l’estomac chrétien afin de lui permettre d’attendre l’heure tardive du réveillon sans souffrir de la faim.

La messe de minuit : c’est une messe comme les autres, sauf qu’elle a lieu à vingt-deux heures, et que la nature exceptionnellement joviale de l’événement fêté apporte à la liturgie traditionnelle un je-ne-sais-quoi de guilleret qu’on ne retrouve pas dans la messe des morts. Au cours de ce rituel, le prêtre, de son ample voix ponctuée de grands gestes vides de cormoran timide, exalte en d’eunuquiens aigus à faire vibrer le temple, la liesse béate et parfumée des bergers cruciphiles descendus des hauteurs du Golan pour s’éclater le surmoi dans la contemplation agricole d’un improbable dieu de paille vagissant dans le foin entre une viande rouge sur pied et un porte-misère borné, pour le rachat à long terme des âmes des employés de bureau adultères, des notaires luxurieux, des filles de ferme fouille-tiroir, des chefs de cabinet pédophiles, des collecteurs d’impôts impies, des tourneurs-fraiseurs parjures, des O.S. orgueilleux, des putains colériques, des éboueurs avares, des équarrisseurs grossiers, des préfets fourbes, des militaires indélicats, des manipulateurs-vérificateurs méchants, des informaticiens louches, j’en passe et de plus humains. A la fin de l’office, il n’est pas rare que le prêtre larmoie sur la misère du monde, le non-respect des cessez-le-feu et la détresse des enfants affamés, singulièrement intolérable en cette nuit de l’Enfant.

Le réveillon : c’est le moment familial où la fête de Noël prend tout son sens. Il s’agit de saluer l’événement du Christ en ingurgitant, à dose limite avant éclatement, suffisamment de victuailles hypercaloriques pour épuiser en un soir le budget mensuel d’un ménage moyen. D’après les chiffres de l’UNICEF, l’équivalent en riz complet de l’ensemble foie gras-pâté en croûte-bûche au beurre englouti par chaque chrétien au cours du réveillon permettrait de sauver de la faim pendant un an un enfant du Tiers Monde sur le point de crever le ventre caverneux, le squelette à fleur de peau, et le regard innommable de ses yeux brûlants levé vers rien sans que Dieu s’en émeuve, occupé qu’Il est à compter les siens éructant dans la graisse de Noël et flatulant dans la soie floue de leurs caleçons communs, sans que leur cœur jamais ne s’ouvre que pour roter.

La remise des cadeaux : après avoir vomi son réveillon, le chrétien s’endort l’âme en paix. Au matin, il mange du bicarbonate de soude et rote épanoui tandis que ses enfants gras cueillent sur un sapin mort des tanks et des poupées molles à tête revêche comme on fait maintenant.

Le déjeuner du réveillon : la panse ulcérée et le foie sur les genoux, le chrétien néanmoins se rempiffre à plein groin, se revautre en couinant de plaisir dans les saindoux compacts, les tripailles sculptées de son cousin cochon et les pâtisseries immondes, indécemment ouvragées en bois mort bouffi. ô bûches de Noël, indécents mandrins innervés de pistache infamante et cloqués de multicolores gluances hyperglycémiques, plus douillettement couchées dans la crème que Jésus sur la paille, vous êtes le vrai symbole de Noël.

La bise à la tante qui pique : après avoir vomi son déjeuner, le chrétien reçoit la tante qui pique et la donne à sucer à ses enfants. Si elle pique beaucoup, la tante qui pique devra attendre le Nouvel An pour les enfants du chrétien aillent lui brouter le parchemin maxillaire contre deux cents grammes de confiseries. Le Nouvel An est l’occasion de festivités exactement semblables à celles de Noël, à ce détail près qu’il s’agit cette fois d’un rite paîen.

Rire de tout avec Desproges FB

L'intégralité du "Dictionnaire superflu à l’usage de l’élite et des bien nantis" est consultable (et téléchargeable) en format PDF : ICI. << C'est cadeau ! S'il fallait qu'on attende une date précise (pré-étable-hihi!) pour en faire (des cadeaux!), notre générosité manquerait énormément de place pour s'exprimer en toute... sincérité ! Non, nous, on adore sortir des clous... comme Jésus, qui, souvenez-vous, aspirait à en faire autant, à 33 ans !

Royaume pourri PN FB Blackboard joyeux Noel Bees pétitionFB

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